Les plus belles réalisations de cet artisan, et bien d’autres encore, se trouvent dans le livre "Les armuriers Liégeois à travers leurs réalisation. 1800 - 1950".

Pour tous les détails voir : LES ARMURIERS LIEGEOIS

Fusil Albini Braendlin

Les marques ou poinçons sur ton fusil sont de deux origines:

Le banc d’épreuves de Liège.

A et C étoilés.

Perron.

ELG étoilé dans un ovale couronné.

C + n° illisible dans un losange: calibre nominal

EL en lettres cursives: épreuve provisoire du 21.12.1852 à nos jours.

La Manufacture d’armes de l’Etat.

Lion stylisé et lettre T dans un octogone: marque de l’inspecteur des armes de guerre.

Deux ovales superposés, couronne supérieure et illisible en dessous : poinçon d’épreuve de la M.A.E.

Barres verticales genres chiffre romains: marques d’atelier.

Tous les petits poinçons ronds avec lettre à l’intérieur: marques des contrôleurs MAE.

Je ne connais pas non plus L.I.H (si j’ai bien lu?).

GG

 

Le modèle 1841 aurait subi la transformation "Albini-Braendlin", ce qui justifierait le calibre (17,5), l'absence de hausse et le marquage de la M.A.E.

Christian Pisart.

On voit ici l'épaisse tige articulée sur le chien et qui passe au travers de la culasse...

Ici en position d'armé.

Et percuté.

pour frapper le percuteur logé dans le bloc pivotant.

Le festival de marquages!!!

Sur le chien.

La platine

Le canon

Le bloc pivotant

Et l'arrière de la culasse

Albin-Braendlin.

Belgique : transformation initiale des fusils suivant l'idée de Montstorm : mécanisme (extracteur) de Augusto Albini et verrou à la tête de chien de Francis Braendlin (Allemand établi à Brimingham).

Albini-Braendlin : modèles 1777/67 (11 X 50R), 1841/53/67 et 1853/67, 1877/1873 (11 X 42R), fusil lisse 1867/1901 (14mm à plombs).

PH.

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