POUR les p'tit nouveaux "spécialistes de l'ID"

Voila, je mets les photos dans l'ordre des numéros de demande et je les enlève dès que j'ai reçu la réponse.

Amitiés

Alain

Dde d'identification 3929

Je vous envoie les photos des marquages sur la carabine à air comprimé Giffard, prises maintenant avec un appareil photo numérique.

Ma demande est : Qui de la grande famille des Warnant possède les marques "CB+ NR et Warnant" ?

Peut-être pouvez-vous également savoir de quoi il s'agit dans les "Nouvelles Armes Giffard- Catalogue de Vente" publiées par Paul Giffard en 1868, succursale/usine de fabrication à Liège.

Elles auraient été situées au 321, rue Faubourg-Saint Léonard.

La rue s'appelle aujourd'hui Saint Léonard et la bibliothèque "La Meuse" s'y trouve.

Mon enquête à Liège en 2016 auprès de l'employé d'administration, Service Gestion documentaire et Archives/Ville de Liège a révélé qu'il n'y a aucun document dans les archives relatif à un permis de construire ou d'urbanisme pour la fabrication d'armes.

Je vous envoie une copie du document Giffard.

J'espère que vous pourrez trouver quelque chose sur ce sujet dans vos documents ou, en tant que natif, faire de meilleures recherches dans les archives.

J'aimerais compléter celles-ci avec trois photos, une du fusil en question et deux autres de deux autres exemplaires.

Dde d'identification 3934

Voici un pistolet par Iohann Christoph Kuchenreiter le deuxième (1755/1818).
Tout d'abord, je constate que l'on trouve deux orthographes pour cette
famille: Kuchenreuter et Kuchenreiter, comme celui-ci.
Le poinçon de toute la famille représente un cavalier, avec les différentes
initiales en fonction des différents membres; or, "cavalier" se dit "reiter"
en Allemand, ce qui peut être une indication.
Il mesure 35 cm, calibre 13 mm rayé "cheveux", hausse à un feuillet mobile.
Il était d'origine à silex, mais a subi une transformation à percussion très
particulière, avec ce protège cheminée de sécurité (que l'on trouve sur le
pistolet de cavalerie modèle 1828 et suivants).
J'en ai trouvé une paire (voir photos) de Johan Adam Kuchenreuter (le neveux
de Iohann Christoph). Ceux-ci ne semble pas avoir été transformés. Se
pourrait-il donc que le mien ait été transformé par Adam?

En revanche, ce qui m'intrigue le plus est la calotte en deux parties, avec
une ouverture à l'intérieur (voir photo).
Je ne vois pas l'intérêt d'une telle configuration, ma seule hypothèse (peu
probable au demeurant) étant la possibilité d'y adjoindre une crosse
amovible.
C'était courant chez les Kuchenreuter, mais la fixation était alors à
l'emplacement de la pièce de pouce.
Quelqu'un de ton groupe aurait-il une idée sur ce sujet?
En te remerciant par avance
Bien amicalement
Gilles

Dde d'identification 3935

Je m'appelle Martin Tomich et je vous envoie un e-mail depuis l'Australie pour vous demander de l'aide pour identifier ce fusil de fabrication belge que j'ai acheté il y a un an.

 Si vous ou votre équipe pouviez m'aider à l'identifier, je vous en serais très reconnaissant. Loic Servais, conservateur du musée d'armes de Liège m'a recommandé de vous contacter.

Il a un pontet très orné. La gauche du canon et de l'action porte des marquages d'épreuve.

Il a une culasse pivotante très inhabituelle. Sous le canon, à l'avant, il est écrit "Made in Belgium" et le numéro de série 186.

À part ces marquages, aucun nom de fabricant n'est visible. Je n'ose pas démonter le fusil.

Je l'ai acheté aux enchères pour 100 AUD (60 euros) et il était simplement étiqueté "fusil de salon belge". Il a un quadrillage très net sur la poignée et le devant.

C'est un très beau fusil, très léger et très élégant. Il est en état de tir et l'alésage est très bon. J'ai tiré une cartouche de calibre .22short avec.

 

 

 

 

 

 

Dde d'identification 39